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Obviamente, vão reagir já amanhã; com os juros a subir à grande e à francesa. E essa reacção será a prova que faltava da falência do sistema (isto, para quem ache que faltam provas). Se me enganar, óptimo.
100% done ██████████████ Running time: 5 years - Remaining Time: 00h00
"FRANÇOIS HOLLANDE EN PASSE DE REMPORTER LA PRÉSIDENTIELLE Les estimations créditent le socialiste de 52% à 53,3% des voix." [http://www.rts.ch/info/]
PS - Se isto der Merllande, já sabes Flamby... Ficas a falar mais fininho! Entretanto, mãos à obra, "Moi président de la république..."!
1er sondage officiel communiqué aux états majors politiques - Hollande: 52,6%, Sarkozy: 47,4% [fonte: RadioLondres]
"99% done ██████████████░░ Running time: 5 years - Remaining Time: 4h00” [@RadioLondres]
"Selon des sondages effectués à la sortie d'une série de bureaux de vote, deux instituts donnent actuellement François Hollande vainqueur de l'élection présidentielle française avec une majorité de 52,5 à 53% des voix. Le scrutin s'est ouvert à 8 heures et se clôturera dans les grandes villes à 20 heures, moment auquel seront diffusées les premières estimations de résultats des instituts de sondages." agences/olhor http://www.rts.ch/info/monde/3972114-hollande-devance-sarkozy-selon-deux-instituts-de-sondage.html
Acompanhe as sondagens (antes do fecho das urnas) e os resultados na #RadioLondres (ou aqui com delay).
Entretanto, parece que "#radiolondres Je répète, prix de Flamby en Martinique 60.4 € pas chere par rapport á la Guadeloupe qui et 63.7" (tradução: o Hollande é o flamby e teve na Martinica à volta de 60.4% e na Guadalupe 63.7%) e que "#radiolondres Tremblement de terre aux Antilles: une usine Rolex détruite". Rolex? Rolex é o Rolex e parece que algures uma fábrica deles que caiu de podre.
Sigam também aqui: #Presidentielle2012, #RTBF, #Flamby.
À Suivre... e que Flamby esteja connosco (e se isto der Merllande, eu próprio vou a Paris corta-lhe os tintins).
«Dans le cadre des activités de la Fondation Education contre le racisme que j'ai créée il y a maintenant quatre ans, je ne demande à personne s'il est de gauche, de droite, du centre ou d'ailleurs. Notre vocation est de contribuer, et d'abord pour nos enfants, à la construction d'une société plus fraternelle.
Alors que la campagne pour l'élection présidentielle atteint un paroxysme dans l'instrumentalisation des peurs, des haines et des divisions, je n'ai pas envie de me taire.
C'est aujourd'hui quelque chose d'essentiel qui est en cause : notre capacité àvivre ensemble, à assumer nos différences, à privilégier avant tout ce qui rassemble plutôt que ce qui sépare et divise.
C'est une construction politique particulièrement pernicieuse qui est en place depuis une dizaine d'années et plus encore depuis 2007. Elle semble être entrée aujourd'hui, dans cette campagne électorale, dans une course folle. Mais comment avons-nous pu ainsi régresser ?
Que s'est-il passé depuis cette belle nuit du 12 juillet 1998 où tant de Français ont fêté la victoire d'une France "black, blanc, beur" ? Nous savions bien, tous, combien cette expression masquait déjà de difficultés, d'incompréhensions. Pourtant, nous étions tous heureux de rêver ensemble à une France idéale.
Ne me dites pas que vous ne sentez pas monter les divisions, les clivages, les haines, les rejets, les exclusions. Tout mon engagement vise à les comprendrepour mieux les déconstruire et les combattre.
Historiquement, à chaque période de crise, c'est toujours le même mécanisme, qui veut que certains politiques réveillent des peurs en désignant des boucs émissaires, les étrangers, les immigrés : hier les Italiens, les Polonais, les Espagnols, les Portugais, les juifs de l'Est... aujourd'hui les Maliens, les Chinois, les musulmans...
Ce que je constate maintenant est bien le point culminant d'une lente dérive. Avant même le déluge d'amalgames au cours de cette campagne, et dans une sorte de conditionnement progressif, se sont succédé la création du ministère de l'immigration et de l'identité nationale, le discours de Dakar dévalorisant l'homme africain, celui de Grenoble stigmatisant les Roms, le prétendu débat sur l'identité nationale, et tant d'autres entorses aux valeurs républicaines.
Mais ce ne sont que des leurres que l'on présente aux Français pour les détourner des véritables luttes : contre la pauvreté, qui touche plus de dix millions de personnes dans notre pays, dont deux millions d'enfants, contre l'inégalité d'accès au travail, pour une éducation et des soins de qualité, pour une société plus juste.
Ne nous prépare-t-on pas tout simplement à accepter la précarité généralisée ?
Je retiens de ma carrière de footballeur que, lorsqu'un entraîneur a un bilan négatif, il est préférable de s'en séparer et d'en changer. A chaque fois que cette loi a été ignorée, les choses n'ont fait qu'empirer.
Le 6 mai, le choix se fera aussi entre la poursuite de ces dérives - la xénophobie, l'islamophobie, la haine des immigrés - et l'apaisement. Pour ma part, je voterai toujours en faveur de l'apaisement.
L'une des citations que je rappelle le plus souvent à mes enfants est d'Albert Einstein. Il dit ainsi : "Le monde est dangereux à vivre. Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. "
Dimanche, chacun votera en son âme et conscience mais nul ne pourra dire "je ne savais pas ".»
Par Lilian Thuram, ancien footballeur, Le Monde
- Qui a gagné? Comment jugez-vous la prestations des candidats?
- Françoise Fressoz (éditorialiste au Monde): Difficile de répondre à la question, car il n'est pas certain que le débat fasse bouger les lignes chez les indécis. Il a été globalement très technique. Mais ce qui a le plus frappé, c'est de voir que François Hollande ne s'est jamais laissé dominer par Nicolas Sarkozy.
Il faut voir quelle était la stratégie des deux candidats. M. Hollande avait besoin de montrer qu'il maîtrisait ses dossiers, qu'il avait la stature présidentielle, qu'il pouvait incarner justice et redressement. C'est en fonction de ces trois impératifs qu'il a conduit le débat. A chaque fois que M. Sarkozy essayait de lui asséner un chiffre, il ripostait.
Comme M. Sarkozy voulait se placer en position du maître par rapport à l'élève, comme l'avait fait Valéry Giscard d'Estaing face à François Mitterrand en 1974, M. Hollande a réagi : il a contesté les chiffres et les raisonnements de M. Sarkozy, pour ne pas se laisser piéger. Cela n'a pas forcément donné un débat très compréhensible, mais cela a permis au candidat socialiste de ne jamais se laisser dominer.
M. Sarkozy, lui, s'était fixé comme objectif de "débusquer" son adversaire, dont il ne cesse de dénoncer l'art de l'esquive. Il a cherché toutes sortes "d'alliés" pour mettre en difficulté M. Hollande : il est allé chercher Manuel Valls, le directeur de la communication de son rival, sur la TVA Sociale, Martine Aubry sur le contrat de génération, il a aussi cité Laurent Fabius... Il voulait vraiment mettre en difficulté M. Hollande sur ses convictions.
Mais il n'a, je pense, réussi à le faire que sur la partie immigration, lorsqu'ont été évoqués les centres de rétentions. M. Hollande a eu du mal à expliquer s'il voulait les maintenir ou en faire une exception. C'est la seule fois où il a été vraiment en difficulté. Mais à chaque grande étape du débat, M. Sarkozy a utilisé la même technique: essayer de faire apparaître M. Hollande comme une personnalité sans beaucoup de convictions. Il a par exemple essayé sur le nucléaire, mais là, M. Hollande s'est beaucoup mieux défendu.
Ler o resto: Le Monde
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