Saltar para: Posts [1], Pesquisa e Arquivos [2]
O que se está a fazer na EDP e nas Águas de Portugal, privatizando as empresas mas mantendo os comissário partidários no controlo do processo, é bem o sinal e o aviso que quem queira comprar as empresas tem que perceber que os negócios se fazem envolvendo o estado. Que privatizar não é sinónimo de mais concorrência, mais regulação, mais mérito. Não, privatizar é comprar as facilidades necessárias para que as empresas possam fazer bons negócios. E essas facilidades são monopólio do estado. Quem não perceber perde!
Os Chineses não vão ter dificuldades nenhumas em trabalhar assim, afinal lá na sua terra é assim que funciona, os privados na China tomam as iniciativas que o Partido único lhes concede. Ninguém se engane, na China não há iniciativa privada, há negócios que o estado abre à exploração dos privados. O que é substancialmente diferente de ter liberdade individual para criar, inovar, experimentar...
É esta filosofia estatal que explica que a Justiça e a sua consentida ineficácia sejam o maior empecilho ao desenvolvimento da economia e das empresas.
Passos Coelho prometeu-nos que tudo faria para aligeirar o peso do Estado, retirar o estado de sectores económicos onde a iniciativa privada já mostrou ser mais capaz mas, em vez disso, espalha os tentáculos do estado por tudo o que é economia. Em vez de recuar e dar espaço à iniciativa privada e guardar energias para melhor regular, Passos Coelho intervém até ao absurdo de nomear para empresas que passaram a ser privadas, os seus colaboradores nas tarefas do estado e do partido.
Isto não é culpa da Troika! Quando o programa de "ajuste financeiro" tiver terminado deixam de haver razões para que este governo continue. Avance-se para um governo que liberalize a economia regulando-a, que aprofunde o Estado Social, que crie igualdades de oportunidades para todos.
Não basta encher os bolsos a reformados milionários e mandar emigrar os jovens!
Durante o Salazarismo e na primeira década da democracia dizia-se que "o Estado levantava dificuldades para poder vender facilidades". Só assim se compreendia que projectos inequivocamente viáveis ficassem sete/oito anos à espera de aprovação e só a obtinham após um "toque amigo" no serviço certo.
Agora o controlo é bem mais subtil e também mais rentável. Os privados perceberam que só fazem bons negócios se tiverem o Estado do seu lado e, melhor que tudo, sentado nas cadeiras da administração.
O Estado pode tudo, sabe tudo, chega a tudo, controla tudo e é dono de tudo!
Mesmo quando privatiza é o estado que fica a mandar, fazendo nomear os seus comissários com milionários vencimentos para que não se perca tempo. O telefonema é para o gabinete do governante que coloca o aparelho do Estado à disposição das empresas do regime. E a legislação à medida. E, é assim, que se compreende a nomeação de Catloga, Celeste Caldona e Jolge Macedo para a EDP e de autarcas para a administração das Águas de Portugal.
Neste caso para controlarem a privatização do sector da distribuição da empresa, não vá cair em mãos de accionistas que não se verguem à ditadura dos interesses e corporações instalados.
Pourquoi faut-il que les Etats paent 600 fois plus que les banques ? e sont des chiffres incroyables. On savait déjà que, fin 2008, George Bush et Henry Paulson avaient mis sur la table 700 milliards de dollars (540 milliards d'euros) pour sauver les banques américaines. Une somme colossale. Mais un juge américain a récemment donné raison aux journalistes de Bloomberg qui demandaient à leur banque centrale d'être transparente sur l'aide qu'elle avait apportée ellemême au système bancaire.
Après avoir épluché 20 000 pages de documents divers, Bloomberg montre que la Réserve fédérale a secrètement prêté aux banques en difficulté la somme de 1 200 milliards au taux incroyablement bas de 0,01 %.
Au même moment, dans de nombreux pays, les peuples souffrent des plans d'austérité imposés par des gouvernements auxquels les marchés financiers n'acceptent plus de prêter quelques milliards à des taux d'intérêt inférieurs à 6, 7 ou 9 % ! Asphyxiés par de tels taux d'intérêt, les gouvernements sont "obligés" de bloquer les retraites, les allocations familiales ou les salaires des fonctionnaires et de couper dans les investissements, ce qui accroît le
chômage et va nous faire plonger bientôt dans une récession très grave.
Est-il normal que, en cas de crise, les banques privées, qui se financent habituellement à 1 % auprès des banques centrales, puissent bénéficier de taux à 0,01 %, mais que, en cas de crise, certains Etats soient obligés au contraire de payer des taux 600 ou 800 fois plus élevés ? "Etre gouverné par l'argent organisé est aussi dangereux que par le crime organisé", affirmait Roosevelt. Il avait raison. Nous sommes en train de vivre une crise du capitalisme dérégulé qui peut être suicidaire pour notre civilisation. Comme l'écrivent Edgar Morin et Stéphane Hessel dans Le Chemin de l'espérance (Fayard, 2011), nos sociétés doivent choisir : la métamorphose ou la mort ?
Allons nous attendre qu'il soit trop tard pour ouvrir les yeux ? Allons nous attendre qu'il soit trop tard pour comprendre la gravité de la crise et choisir ensemble la métamorphose, avant que nos sociétés ne se disloquent ? Nous n'avons pas la possibilité ici de développer les dix ou quinze réformes concrètes qui rendraient possible cette métamorphose. Nous voulons seulement montrer qu'il est possible de donner tort à Paul Krugman quand il explique que l'Europe s'enferme dans une "spirale de la mort". Comment donner de l'oxygène à nos finances publiques ? Comment agir sans modifier
les traités, ce qui demandera des mois de travail et deviendra impossible si l'Europe est de plus en plus détestée par les peuples ?
Angela Merkel a raison de dire que rien ne doit encourager les gouvernements à continuer la fuite en avant. Mais l'essentiel des sommes que nos Etats empruntent sur les marchés financiers concerne des dettes anciennes. En 2012, la France doit emprunter quelque 400 milliards : 100 milliards qui correspondent au déficit du budget (qui serait quasi nul si on annulait les baisses d'impôts octroyées depuis dix ans) et 300 milliards qui correspondent à de vieilles dettes, qui arrivent à échéance et que nous sommes incapables de rembourser si nous ne nous sommes pas réendettés pour
les mêmes montants quelques heures avant de les rembourser.
Faire payer des taux d'intérêt colossaux pour des dettes accumulées il y a cinq ou dix ans ne participe pas à responsabiliser les gouvernements mais à asphyxier nos économies au seul profit de quelques banques privées : sous prétexte qu'il y a un risque, elles prêtent à des taux très élevés, tout en sachant qu'il n'y a sans doute aucun risque réel, puisque le Fonds européen de stabilité financière (FESF) est là pour garantir la solvabilité des Etats emprunteurs...
Il faut en finir avec le deux poids, deux mesures : en nous inspirant de ce qu'a fait la banque centrale américaine pour sauver le système financier, nous proposons que la "vieille dette" de nos Etats puisse être refinancée à des taux proches de 0 %.
Il n'est pas besoin de modifier les traités européens pour mettre en oeuvre cette idée : certes, la Banque centrale européenne (BCE) n'est pas autorisée à prêter aux Etats membres, mais elle peut prêter sans limite aux organismes publics de crédit (article 21.3 du statut du système européen des banques centrales) et aux organisations internationales (article 23 du même statut). Elle peut donc prêter à 0,01 % à la Banque européenne d'investissement
(BEI) ou à la Caisse des dépôts, qui, elles, peuvent prêter à 0,02 % aux Etats qui s'endettent pour rembourser leurs vieilles dettes.
Rien n'empêche de mettre en place de tels financements dès janvier ! On ne le dit pas assez : le budget de l'Italie présente un excédent primaire. Il serait donc à l'équilibre si l'Italie ne devait pas payer des frais financiers de plus en plus élevés. Fautil laisser l'Italie sombrer dans la récession et la crise politique, ou fautil accepter de mettre fin aux rentes des banques privées ? La réponse devrait être évidente pour qui agit en faveur du bien commun.
Le rôle que les traités donnent à la BCE est de veiller à la stabilité des prix. Comment peutelle rester sans réagir quand certains pays voient le prix de leurs bons du Trésor doubler ou tripler en quelques mois ? La BCE doit aussi veiller à la stabilité de nos économies. Comment peutelle rester sans agir quand le prix de la dette menace de nous faire tomber dans une récession "plus grave que celle de 1930", d'après le gouverneur de la Banque d'Angleterre ?
Si l'on s'en tient aux traités, rien n'interdit à la BCE d'agir avec force pour faire baisser le prix de la dette. Non seulement rien ne lui interdit d'agir, mais tout l'incite à le faire. Si la BCE est fidèle aux traités, elle doit tout faire pour que diminue le prix de la dette publique. De l'avis général, c'est l'inflation la plus inquiétante !
En 1989, après la chute du Mur, il a suffi d'un mois à Helmut Kohl, François Mitterrand et aux autres chefs d'Etat européens pour décider de créer la monnaie unique. Après quatre ans de crise, qu'attendent encore nos dirigeants pour donner de l'oxygène à nos finances publiques ? Le mécanisme que nous proposons pourrait s'appliquer immédiatement, aussi bien pour diminuer le coût de la dette ancienne que pour financer des investissements
fondamentaux pour notre avenir, comme un plan européen d'économie d'énergie.
Ceux qui demandent la négociation d'un nouveau traité européen ont raison : avec les pays qui le veulent, il faut construire une Europe politique, capable d'agir sur la mondialisation ; une Europe vraiment démocratique comme le proposaient déjà Wolfgang Schäuble et Karl Lamers en 1994 ou Joschka Fischer en 2000. Il faut un traité de convergence sociale et une vraie gouvernance économique.
Tout cela est indispensable. Mais aucun nouveau traité ne pourra être adopté si notre continent s'enfonce dans une "spirale de la mort" et que les citoyens en viennent à détester tout ce qui vient de Bruxelles. L'urgence est d'envoyer aux peuples un signal très clair : l'Europe n'est pas aux mains des lobbies financiers. Elle est au service des citoyens.
Michel Rocard est aussi le président du conseil d'orientation scientifique de Terra Nova depuis 2008. Pierre Larrouturou est aussi l'auteur de "Pour éviter le krach ultime" (Nova Editions, 256 p., 15)
Le Monde.fr | Fréquentation certifiée par l'OJD | CGV | Mentions légales | Qui sommesnous
? | Charte groupe | Index | Aide et contact
| Publicité Journal d'information en ligne, Le Monde.fr offre à ses visite |u rAsb ounn npeamneonratsma complet de l'actualit. Découvrez chaque jour
toute l'info en direct (de la politique à l'économie en passant par le sport et la météo) sur Le Monde.fr, le site de news leader de la
Michel Rocard, ancien premier ministre, et Pierre Larrouturou, conomiste
Jardim aí está com o terrorismo verbal habitual. Não quer pagar a factura de trinta anos de governo. A culpa e os méritos são seus, não há aqui repartição. A classe política do continente é que criou o "monstro". Julgaram que mantendo-o preso à ilha no meio do Atlântico o domesticavam. Pelo contrário , animal enjaulado, sem saída, torna-se perigoso.
Podiam ter-lhe aberto uma porta para Bruxelas ou para uma carreira internacional, ou mesmo a nível nacional, mas fecharam-lhas todas. João Bosco do Amaral fez o seu trabalho e depois veio para o continente e para Presidente da Assembleia da República. Carlos César já anunciou que a sua tarefa chegou ao fim nos Açores.
Jardim afunda-se numa economia que não existe, na sua própria cegueira que não o deixa ver que ele, Alberto João, não é a Madeira. E a Madeira já nas anteriores eleições lhe sussurrou: vai-te embora! Entre deixar o cargo e um programa financeiro dificil que não o deixa gastar como quer, grita, enquanto se prepara para assinar o programa que vai mostrar ao povo Madeirense que os culpados, estão todos a sacar há décadas. E vivem todos no Funchal!
Diz Rita Blanco :«Um país sem cultura não é um país, é uma anedota», manifestou Rita Blanco. E a título de exemplo, citou o caso da agência noticiosa Lusa, estatal, cuja secção de Cultura deixou de existir.
E de quem é a culpa de tudo isso? Rita Blanco não tem dúvidas: «O secretario de Estado [Francisco José Viegas] foge, anda a fugir e anda a queixar-se de que não há dinheiro... A obrigação dele é o quê? Procurar dinheiro como fazem alguns outros secretários de Estado, alguns outros ministros». Peremptória, afirma: «Nós infelizmente tivemos o pior secretário de Estado que podíamos ter».
Siga o link e veja o vídeo.
Agora que o filme português "Sangue do meu sangue" arrascou 20 000 pessoas às salas de cinema e que se procurava mostrar que o cinema em Portugal tem viabilidade, levamos com Viegas...
Kandinsky nasce dia 4 de Dezembro de 1866, em Moscovo, no seio de uma família, cujo chefe era negociante de chás. Em 1871, a família muda-se para Odessa. Os pais se divorciam e a tia de Kandinsky se escarrega de sua educação. Logo, de 1876 a 1885, Kandinsky recebe as primeiras aulas de desenho e música e em 1886 começa os estudos de Direito e Economia na Universidade de Moscovo.
Empreende uma expedição a Vologda, em 1889, no âmbito de um programa de pesquisa da "Sociedade de Ciências Naturais, Etnografia e Antropologia". Fica impressionado com a vigorosa arte popular do Norte da Rússia. Em 1892 Termina os estudos universitários com licenciatura em Direito. Casa-se neste mesmo ano com sua prima Anya Chimiakin. Torna-se assistente da Universidade de Moscovo em 1893. Tese de doutoramento "Sobre a Legalidade dos Salários dos Operários".
Eduardo Catroga quer-nos fazer crer que andou com os accionistas Chineses da EDP na escola. Há que lembrar que foi colega de Cavaco ali no ISE actual ISEG, ao Quelhas. Passa por cima desta questão essencial: andou a trabalhar para o PSD e, depois, para o governo mas está a ser pago pelos accionistas da EDP.
Trabalhou para os vendedores mas está a ser pago pelos compradores. Há aqui algo que não cola!
Valor de mercado? Isso seria se houvesse outra EDP para nos vender a energia mais barata e, então sim, com concorrência, veríamos se o seu valor de mercado é o que recebe. Assim, o seu valor de mercado é como o preço final que nos chega a casa na factura. Mais de 40% não tem a ver com a energia que utilizamos.
Junta a este vencimento uma pensão milionária que, claro, é mais que merecida, mas cai muito mal em quem anda a "vender" austeridade aos outros. Está reformado? Vá tomar conta dos netos e deixe os jovens terem mais oportunidades de emprego. Está cheio de genica? Largue a pensão e a reforma e vá trabalhar.
Mas faça-se pagar por quem mereceu o seu esforço e o seu saber. Vai ver que ninguém o critica e ninguém terá inveja!
O MELRO DE VISITA
o amor não é uma saga cruel:
vejo-a cuidar das plantas no jardim,
brincam as filhas com lápis e papel
e eu escrevo sossegado. é bom assim.
na relva, um melro a saltitar, vilão
pretíssimo, esfuzia à cata de algum resto,
ou de mosca azarada: passa lesto
entre duas roseiras: já é verão.
mas o melro demanda outro quintal
e do poema, sem jeito e sem disfarce,
sai do bico amarelo em diagonal
desajeitada: esvoaça sem maneiras
como um pingo de tinta a escapar-se,
de verde prateado, as oliveiras.
in «Sonetos Familiares», Quetzal, Lisboa, 1999
No dia 14 de Janeiro de 1949 morreu em Madrid, Joaquín Turina, um dos maiores compositores espanhóis do séc. XX. Tinha nascido em Sevilha a 9 de Dezembro de 1882. Depois dos primeiros estudos musicais na sua cidade natal, continuou os estudos em Madrid e, em 1905, partiu para Paris, onde viveu até 1913 e fez amizade com Albéniz, Falla, Debussy e Ravel. O encontro com Isaac Albéniz, em 1907, fez com que a música de Turina se orientasse definitivamente na direcção de um nacionalismo inspirado no folclore espanhol. Foi, juntamente com Manuel de Falla, o maior compositor espanhol da geração que se seguiu à de Albéniz e Granados.
Ao regressar a Espanha, Joaquin Turina fixou-se em Madrid, onde foi nomeado professor de composição no Conservatório, em 1931. Juntamente com esta actividade e a de compositor, Turina era, ainda, concertista, director de orquestra e crítico musical. Foi, também, nomeado Comissário Geral de Música e fundou a Orquestra Nacional de Espanha.
BEM-VINDO: O EMPRÉSTIMO ONLINE ENTRE PESSOAS GRAVE...
Você quer pedir dinheiro emprestado? se sim, entre...
Você quer pedir dinheiro emprestado? se sim, entre...
Você quer pedir dinheiro emprestado? se sim, entre...
Saudações da temporada, eu sou David e sou um hack...
MARTINS HACKERS have special cash HACKED ATM CARDS...
I wanna say a very big thank you to dr agbadudu fo...
Olá senhoras e senhores!O ano está acabando e esta...
God is great i never thought i could ever get loan...
I am Edwin Roberto and a construction engineer by ...